"Il y a une habitude héritée du dramatisme chrétien: la survalorisation de l'événement...
Le paradoxe est que nous ne cessons de célébrer le changement ou de l'appeler de nos voeux alors que notre dépendance à l'événementiel nous interdit d'en prendre conscience..
Plus nous sommes informés de ce qui arrive, moins nous appréhendons ce qui vient et s'en va, que ce soit le subjonctif et le jambon beurre, la flânerie et la pipe de bruyère ..."