"Sans cesse des intensités nous sont promises ",ainsi démarre le nouveau livre de Tristan Garcia , réflexion d'un jeune philosophe-romancier sur la modernité dépassée et son au-delà qui s'invente aujourd'hui chaque jour dans nos existences .
Un petit traité décrivant l'évolution de l''éthique et de l'esthétique des classiques à aujourd'hui s'appuyant sur des théorie assez proches de Rosa et de son Accélération
#La prolifération du concept :
Petit à petit l'intensité devient un concept métaphysique en tant qu'alliance de l'idée du plus ou mois , du changement qualitatif et d e l'image désirable du courant électrique.
L'intensité est la mesure du singulier et de ses variations intérieures alors que la science se consacre à la connaissance et à la modélisation de tout ce qui apparait plus d'une fois.
Ce qui est intense ,c'est ce qui se trouve excepté par la raison de la rationalisation du monde et abandonné à la perception intime et singulière.
Extension et intensité s'opposent alors : à l'extension , l'objectivité du monde extérieur, à l'intensité la subjectivité de l'expérience intérieure.
#La bascule moderne tout devient intensité :
D'exception par projet de tout vouloir objectiver , l'intensité s'est autonomisée et est devenue la règle : tout est intense, tout est intensité.
Aujourd'hui tout s'interprète en intensité et nos savoirs d'espèce , de genre y sont particulièrement attentifs , afin de procéder aux dernières déconstructions des identités classiques .
Ainsi les genres ne sont plus des noms, masculin, féminin, mais des verbes :ça se masculinise ou féminise plus ou moins..
Pourtant l'intensité ne fonctionne qu'en tant qu'intensification : identifiée en tant qu'intensité , elle n'est plus elle même et cesse d'être intense.
# L'avénement d'un nouvel type moral : l'être n'est plus sensible aux promesses de la grâce , à la recherche du salut ou de la vérité.Il ne compare plus ses perceptions à ses idées, mais cherche les ressources pour les comparer à elles mêmes afin de le stimuler.Il a vocation en tant qu'homme à intensifier, sa nature, ses fonctions, ses sens, sa faculté de jouir,son autonomie..Tout ce qui existe dans la nature peut et doit exister.
#L'homme intense se méfie de la tradition: il faut sans cesse alimenter le brasier du corps et de l'esprit qui réclament de la nouveauté et placent au second plan le déjà vu.Ainsi l'aristocrate libertin du XVIII° est le promoteur d'une conception matérialiste de l'univers, adepte de l'expérimentations amoureuse et sexuelle . Ne reconnaissant aucune autres norme morale que l'intensification de ces sentiments, il préférera souffrir intensément ,que prendre du plaisir faiblement.Il représente l'avant garde d'une forme d'humanité espérant vivre plus.Il va expérimenter l'intensité dans son corps.
Le bourgeois romantique du XIX° s'inscrit dans cette continuité en découvrant par ses nerfs la nature orageuse du macrocosme. Les correspondances entre la violence du monde, de la nature illustrés par les arts notamment et le cerveau vont organiser une multitude de perceptions et nourrir cette désormais quête d'intensité.
Le jeune rocker du XX°, est le résultat démocratisé de ses métamorphoses sur 3 siècles: après avoir soutenu les intensités dans son corps, puis dans la nature entière , il les démocratise gras aux techniques d'amplification et d'enregistrement.
Ainsi s'est construit sur 3 siècles un idéal européen, de plus en plus populaire,de la vie conçue comme expérience électrique, afin de soutenir l'intensité d'un monde moderne toujours sur le point de s'effondrer dans une sorte de dépression de la raison.
La morale nous enjoint à être juste, digne et respectueux : elle fixe des des valeurs , des idées sans préjuger d e la manière de régler son comportement.
L'éthique réclame que l'on soit justement, dignement, c'est une question de façon , de manière de faire.
Expressions - Impressions - Nouveaux concepts - Croyances et Incertitudes d'un Monde qui change
mercredi 29 juin 2016
Commentaires 32 : La vie intense 2/2
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
mardi 28 juin 2016
Lexique 169 : Le mal
"A défaut de pouvoir changer l'homme,lui disait l'autre, il faudrait peut être penser à réduire drastiquement sa capacité à faire du mal"
Percy Kemp
Percy Kemp
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
vendredi 24 juin 2016
jeudi 23 juin 2016
Commentaires 32 : La vie intense 1/2
"Sans cesse des intensités nous sont promises "ainsi démarre le nouveau livre de Tristan Garcia , réflexion d'un jeune philosophe-romancier sur la modernité dépassée et son au-delà qui s'invente aujourd'hui chaque jour dans nos existences .
Un petit traité décrivant l'évolution de l''éthique et de l'esthétique des classiques à aujourd'hui s'appuyant sur des théorie assez proches de Rosa et de son Accélération
#L'idée d'intensité :
La course à l'intensité qui régit nos existences a été impulsée au XVIIIe siècle avec l'apparition de l'électricité.
L'intensité est le promesse que nous tient la société libérale :devenir des hommes intenses, pas une autre vie ou la gloire de l'au delà mais seulement ce que nous sommes déjà plus et mieux.
Ce qui nous est offert c'est une augmentation de nos corps, une intensification de nos plaisirs,amours, émotions.
Mais qu'est ce que l'intensité , voilà la question et si la modernité promettait une rationalisation des connaissances ,des productions et des échanges, l'intensité est devenue la valeur éthique suprême de ce qui résiste à cette rationalisation.
L'intensité comme un idéal sans contenu , purement de la forme: être intensément ce que l'on est .
Ainsi l'esthétique classique reposait sur la correspondance d'une représentation à un idéal préexistant. Idéal lui même régi par des lois de symétrie , d'harmonie et d'agrément.
Aujourd'hui il n'est plus question de faire référence à cet idéal (ou à un autre, son dérivé) mais de dépasser la représentation par le choc de la présence des choses : l'oeuvre doit produire une expérience inédite chez le spectateur.
Alors comment juger ? seul compte de déterminer si la chose est forte.
L'esthétique devient devient alors : que le chose soit n'importe quoi pourvu qu'elle le soit avec intensité.
L'émancipation des individus au XVIIIième siècle a abouti à l'intuition moderne que l'éthique était l'élaboration par chaque homme de son propre tribunal.
Au soir de sa vie une seule loi préside au procès de soi à soi : que ce qui a été fait ,l'ait été avec intensité, est ce que j'ai vécu à fond.
Le fameux "chacun à ses raison" de Renoir dans La Règle du jeu.(*ndlc)
Bien loin des sociétés reconnaissant comme valeur suprême de l'existence son dépassement par un état souverain (vie après la mort, métempsycose,gloire, éternité) ou son apaisement dans l'extinction des intensités valables de la vie (illumination, nirvana,ataraxie)
Une certitude : il n'y a pas dans cette idée d'intensité ni salut, ni sagesse.
#Une image : ce que l'électricité a fait à la pensée
Le mot d'électivité est introduit vers 1600 et va fasciner le monde moderne pendant 400 ans au point où on pourrait définir la modernité comme la domestication du courant électrique.
Le courant électrique a à la fois déçu les espoirs de pouvoir tout expliquer et est resté inexplicable.
L'électricité s'est alors imposée non pas comme une idée définissable mais comme une image , celle d'une charge , perceptible et susceptible d'être domestiquée.
En parallèle l'image de l'électricité a envahi la pensée moderne en imposant le concept d'intensité :« L'électricité est devenue une sorte d'eau invisible, nichée au coeur même de la matière, et qualifiée dans un premier temps de "fluide subtil" : une eau de feu donc, mêlant les qualités de la première (mouvement et fluidité) à celles du second (chaleur et lumière), afin de former une énergie inédite. »
#la distinction rationnaliste entre force et matière :
Pour les grecs, la puissance était un plus ou un moins intérieure à chaque chose du monde : la force reçoit toute l'intensité expulsée de la matière et emprisonnée dans ce qui met les corps en mouvement.
Les rationalistes vont rompre avec ce principe physique et métaphysique d'énergie primordiale pour scinder entité et force : rien ne varie en soi,les êtres ne sont pas plus ou moins et restent les mêmes ; seule la force varient intensité et peut se mesurer.
Autrement dit toute l'identité va aux entités et toute la mesure à la force qui n'est que variation et aura de plus en plus de mal à se définir.
Par extension : l'absence d'une idée d'intensité , la rationalisation du monde a produit dans la pensée européenne , l'impossibilité de se figurer autrement que comme irrationnel le fait que quelque chose soit plus ou moins ce qu'il est .
L'intensité pure nest pas de ce monde, ce n'est que le sentiment du monde.
Reconnaitre la vérité revient à effectuer le deuil d'une intensité objective des choses et à admettre que dans les impressions des hommes il y a des intensités.
# l'apparition du 1ier symptôme de dépression de la conscience moderne : le sujet n'a de ressource qu'en lui même pour trouver quelque chose d'intense
#son hypothèse centrale : il s'est noué une étrange alliance dans l'esprit moderne entre une image (l'électricité) qui manquait d'une idée et une idée (l'intensité) qui manquait d'une image.
Intensité signifiait à la fois ,la variation d'une qualité,la mesure de la comparaison d'une chose avec elle m^me , la mesure du changement, ce qui permettait d'expliquer la sensibilité du vivant, du désir ...
« Etre sage, c'est en effet être égal, éviter les hauts pics et les creux profonds de ses humeurs et de ses passions. C'est travailler à la désintensification systématique de soi »
(*ndlc= note de la claviste)
(*ndlc= note de la claviste)
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
lundi 20 juin 2016
Expressions 36 : Fan zone
Car comme le dit la banderole, le foot n'est rien sans ses fans et si l'objectif de l'UEFA est bien de remplir les stades, celui du pays organisateur est d'attirer un maximum de monde des 24 pays participants .
L'enjeu serait même assez majeur car après les attentats, période que l'on continue d'espérer continuer conjuguer au passé, il s'agit de tester notre capacité à attirer à nouveau les touristes.
Des zones ont donc été créé pour sécuriser et canaliser ces rassemblements , les fameuses fan zones.
Si ce dispositif n'est pas entièrement nouveau, on l'a déjà vu établi lors de grandes compétitions précédentes , du type mondial 2014 au Brésil, ce qui frappe cette année c'est bien sur le niveau d'attention porté à la sécurité et peut être encore plus le succès, peu imaginable au départ , du concept même de fan zone.
Dès la préparation de la compétition les médias s'en sont emparés, comme le fait nouveau de cet Euro, créant même petit à petit l'impression que les fan zone, faisaient désormais partie intégrante du de l'événement .
Comme souvent ce type d'engouement amène des questions : que signifie cette expression ? quelles évolutions véhicule t-elle ? de quoi la fan zone est elle le nom ?
En reprenant chacun des mots ,un par un, on peut déjà trouver une première piste du côté du fan, ce nouvel entrant , bousculant un peu (définitivement?) l'image du supporter/
Le supporter était ce mâle chantant, qui depuis les débuts du football incarne son club de père en fils qu'il soit grand comme Liverpool, Barcelone ou Manchester ou plus petit comme Brest , Nantes ou Strasbourg, les soirs de victoire comme les trop nombreux soirs de défaite pour la plupart d'entre eux
Taille,performance ou renommée n'y changeaient rien le supporter était quelqu'un de loyal et d fidèle pour la vie.
Je dis était car le développement du foot business aidant , le fan serait en train de supplanter le supporter et ce au moins dans l'esprit des organisateurs. Le fan a lui un profil un peu plus large (homme,femme ,famille, jeunes..) , il vient avant tout pour assister à un spectacle, vivre des émotions et surtout parait prêt à consommer toute une série de prestations connexes (hôtel, resto, produits dérivés) spécialement conçus pour lui.
Il se définit comme excité, dingue de ou fou de .. , recherche une intensité maximale dans ce qu'il faut désormais appeler un spectacle et pourra bien faire tout autre chose après le coup de sifflet final (ce qui est franchement impossible pour le supporter,qui continuera ,des heures durant de parler du match et de cette fameuse action qui...
On le voit donc ,c'est en voulant élargir sa cible que le foot business a fait évoluer ses valeurs et s'est quelque peu distancé supporter un peu top populaire au fan un peu plus lisse et acheteur.
La fan zone serait donc ce théâtre , lieu de rassemblement mais aussi de sécurisation, mais aussi de consommation de tous les fans qui souhaitent partager un moment d'intensité ensemble.
Toutes ou presque car un petit groupe résiste celui des hooligans. On les croyait disparu depuis quelques temps, ils reviennent à la faveur d'un contexte économico-culturo-social assez délétère dans de nombreux pays d'Europe.
Un peu comme un retour du refoulé, comme disent les psychanalystes, c'est à dire en faisant tout pour enterrer ce que l'on ne veut plus voir,on favorise les conditions de son retour.
Donc voilà notre géographie de l'euro désormais bien installée : les supporter sau stade, les fans dans la fan zone et les hooligans dans les rue .
Alors oui le football ne peut (ne veut pas) se passer de ses fans mais il les préfère désormais les parker , les contrôler dans des enclôts surprotégés. Drôle de fête ,non?
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
mercredi 15 juin 2016
Citation 27 : Percy Kemp
"Sachant donc que mon grand père avait tort de croire en l'homme nouveau et que vous avez de votre côté sans doute raison de croire que l'homme ne changera jamais,ne pensez vous pas que l'on devrait agir pour réduire les moyens dont l'homme dispose pour faire le mal?"
Percy Kemp
Percy Kemp
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
vendredi 10 juin 2016
APM 16: Comment intégrer de nouveaux talents en entreprise ?
Philippe Pierre est un "poly activiste"insatiable, agissant autant en entreprise qu'à l'université , sur un terrain de recherche qu'à l'écriture d'un livre .Ce sociologue, ancien cadre DRH de Loreal s'est spécialisé dans les processus de socialisation, de construction identitaire ,ce que l'on rassemble généralement sous le concept de transculturel.
Son point d'entrée : les entreprises apprenantes où comment les entreprises parviennent ou pas à travers leurs organisations, modes de gouvernance et de fonctionnement, rituels de passage à intégrer des profils plus jeunes, plus talentueux qui vont les aider à affronter les nombreux défis des transformations technologiques en cours.
Quelques points de décryptage pour les futurs entreprises apprenantes
#L'intégration des nouveaux talents
Un talent est d'abord un doer,un savoir faire technique
Les talents sont des gens qui nous posent des questions ,qui nous forcent à grandir
La question du dirigeant : comment intégrer des talents , sans les faire fuir; comment protéger des gens excellents et différents.
Un talent c'est quelqu'un d'excellent , de performant et qui nous amène à nous poser des questions difficiles (énergivores et chronophage) et de généreux (des gens qui passent du temps avec les autres )
Un talent nous renvoie à nos incompétences conscientes
Quelqu'un de mis à mort dans les organisations.
Un talent est quelqu'un qui ne réfléchit pas au poste d'après mais d'après apres
Il a envie d'être considéré par les autres talents
Un talent n'est pas un haut potentiel
Le haut potentiel prend un rdv,un talent entre directement dans le bureau
Un talent veut Co construire sa vie /fonction avec vous
Un entretien avec un haut potentiel est un entretien de confirmation; avec un talent c'est un entretien d'exploration
#Les nouveaux jeunes :
Ce sont des gens qui veulent co construire avec vous une vérité d'ordre supérieure avec des maillons de la chaine du savoir : c'est clé pour la nouvelle génération ;ils co construisent avec leurs amis, leurs amours, leurs camarades; c'est un héritage de la transformation du modèle familial , de la famille nucléaire stable à de multiples formes mouvantes : il n'y a plus d'autorité unique et absolus mais des autorités partielles et relatives.
Le renversement de la présomption de compétence vient exactement de là : dès qu'une nouvelle autorité se présente,elle doit justifier de sa légitimité. (les cheveux gris ne suffisent pas)
Ils vivent leur existence en archipel : Michel Serres
Il n'y a pas de génération y mais il existe des jeunes chez les jeunes
Ils sont plus dans l'Éthique de la conviction que dans celle de la séduction : ils ne veulent pas de faux semblant , ils recherchent des repères
#La structuration du temps:
Dans une entreprise apprenante on structure une réflexion sur le temps ,sur chacune des générations qui structurent des dirigeants
Cette thématique deu temps, interroge notamment notre rapport au travail et permet aux RH de structurer la démographie de l'entreprise
On est globalement passé d'un rapport monophonique du temps à un rapport poly chronique : c'est à dire un rapport au temps simultané, la personne est là avec toi et avec l'autre en même temps via le digital
Ils font coexister plusieurs temps sociaux dans un même temps physique
Dans le fonctionnement mono chronique , on est dans le Temps séquentiel : passé -présent - futur il valorise le passé , il n'est pas fun et Carpe diem ;il voit sa journée comme une succession de tâches ,comme une anxiété diffuse
On ne vit pas le présent mais on pense sans arrêt à la suite
Passage du centre à des centres; du ou au et .
# Les 3 modèles d'organisation :
ils cohabitent ,même si on évolue de plus en plus du 1ier au 2ième et que certains secteurs (digital, conseil, start up) se construisent sur le 3ième mode.
Modèle de la loyauté (ou latin) : l'organisation industrielle par excellence; modèle de la confiance; promotion au mérite; justice immanente ; on ne parle pas d'argent ,on reçoit son du, en restant fidèle toute sa vie.Modèles du CDI à vie
Modèle du contrat (ou protestant) : l'employabilité au centre , on fait plusieurs métiers , à chaque étape un contrat . La remise en question est permanente et liée à l'efficacité.Modèle du CDD
Modèle de la communauté de métiers : modèle hérité de la mise en réseau par internet et d'un désir de plus en plus partagé (partout? par tous ?) d'exister professionnellement sous plusieurs identité de compétence ou de position professionnelle : être à la fois enseignant , expert et jardinier . Répond également à une volonté d'amortissement des "risques employeurs".Modèle de l'épanouissement selon les uns ou de la précarité selon les autres ,c'est celui du travailleur indépendant, multi taches multi compétences, multi expériences.
En conclusion :
L'entreprise apprenante est une entreprise ou on ouvre des espaces de questionnement , de réflexion sur les modes de travail
Elle se fait en créant un socle culturel avec les gens qui y participent
Une entreprise ou un nouveau talent est accueilli tout de suite
L'entreprise est devenue un creuset d'affirmation identitaire ,d'autant plus fort que les autres creusets :école, mairie,se démonétisent
Une entreprise apprenante est une entreprise qui fait l'éducation de l'audace
Références bibliographiques :
Philippe D'irribarne : la logique de l'honneur
Edward T Hall : La danse de la vie
Publié par La Compagnie du changement
Pascal Guibert, Coaching dirigeants
mardi 7 juin 2016
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